Inspiré par l’autobiographie de Mikael Lindnord, ancien athlète suédois, Arthur the King nous plonge dans l’univers particulier des courses extrêmes où la rencontre entre un cabot errant et une équipe d'athlètes mêleront sensations fortes, valeurs de courage et d'entraide. Un film qui plairat à toute la famille et à tous les publics.

Un film bouleversant sur le destin d'un homme d'une rare humanité, doté de qualités qui lui permettent de réaliser des miracles à sauver des centaines d'enfants de l'extermination. Avec une mise en scène impeccable, une interprétation grandiose d'Anthony Hopkins et une histoire incroyable, sûr que vous ne sortirez pas indemne de la séance. 

Il reste encore demain, mais n'attendez pas jusque là pour découvrir ce remarquable hymne à la liberté. Sans voyeurisme sur la violence conjugale, Paola Cortellesi réunit avec élégance et subtilité, la poésie du cinéma italien et la puissance de l'engagement. Une véritable pépite qui flirt avec le chefs-d'œuvre. À voir absolument.

Une belle leçon de vie à travers les époques, où l'on peut s'émouvoir sur la beauté des hommes. Des figures qui ne trompent pas, des regards cadrés qui parlent toutes les langues, le sourire heureux et dévorant d'envie de vivre d'un enfant qui a déjà dans la lumière de ses yeux le désir de soigner sa terre et ses bêtes, de reprendre, peut être un jour, la place des ainés.

Réduire "Civil War" à un simple film à grand spectacle, serait une monumentale erreur. Alex Garland réussit un film d’une puissance sidérante. Juste assez hypothétique, juste assez amplifié, le film agit comme un miroir à peine déformant. Le reflet qu’il nous renvoie n’en est que plus angoissant. Anxiogène, le film l’est de bout en bout. L'Amérique de demain ? À quelques mois d’une élection présidentielle déterminante pour un pays fracturé, une plausibilité implacable que Garland renoue depuis son "Ex Machina".

Bel hommage à une médecin pionnière en plein patriarcat, créatrice d’une méthode d’apprentissage révolutionnaire étendue à tous les enfants. À la fois instructif et incarné, le film porte un éclairage lumineux sur des femmes avant-gardistes dont le travail reste encore bien trop souvent invisibilisé.

Premier long métrage fictionnel de Fisnik Maxville. Véritable narrateur visuel, le réalisateur Neuchâtelois d'origine Kosovare, y révèle les traumatismes du Kosovo, mais offre aussi une image de la culture du pays, de ses traditions, de ses coutumes et de son histoire.

Vendredi 10 mai : en présence de Fisnik Maxville qui présentera son film.